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 Qui es-tu, Lulu ? Pourquoi cette obsession du mur blanc ? Il veut te revoir sourire. Mais pourquoi ?

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NOUVEAUTE - Novembre  2021

Te revoir sourire…

 

Marie et Brieuc.

Fils de banquier, Brieuc s’installe avec Lulu dans une bourgade bretonne. Il a un stage en banque à honorer, mais sa préoccupation est ailleurs. C’est Lulu qui occupe ses pensées. Lulu et sa tristesse. Lulu et son mur blanc. Qui es-tu, Lulu ? Il veut te revoir sourire. Mais pourquoi ?

Marie a vingt ans, une sœur piquante, un frère relax. Tandis que leurs parents s’effacent pour prendre des vacances bien méritées, elle se retrouve caissière du commerce familial, une « Maison de la Presse ». Sérieuse mais peu sûre d’elle, sa prise de poste commence mal... 

Dans ce roman d'apprentissages, les personnalités se révèlent, les fêlures se soignent, les générations, les regards, les parcours se croisent. Légèreté et  sensibilité. Jeunesse et maturité. Sujets vrais.

Telles sont les intentions de l’auteure, Stéphanie Perz, inspirée par un passé de « fille de Maison de la Presse » et par le monde de la santé. 

Format 16*24cm - 280 pages - 19 euros 

 

     Pour aller plus loin...

 

     Les mots-clé du livre

 

Ma bulle de mots… ma façon de vous faire comprendre rapidement le parfum de ce roman !

Soufflez sur « Te revoir sourire » voici ce qui s’en envolera selon les retours des lecteurs !

 

 

 

  

 

  

     L'intrigue et les personnages...

Ce roman contemporain prend ses quartiers en Bretagne, dans les Côtes d’Armor.

Il est à l’image des rochers de la côte de Granit Rose : tout en reliefs. Doux et grenu, cocasse et sérieux, léger et savant.

Ce récit met en scène des personnages qui vont s’interroger et gagner en maturité durant un été breton.

 

Binaire, la narration s’organise autour d’un segment de deux narrateurs, Marie et Brieuc.

Tour à tour, ils prennent la parole et font part au lecteur de leurs points de vue et de leurs interrogations. Des situations en miroir sont parfois introduites, certaines séquences de vie se reproduisant sous leur double regard.

Les chapitres sont volontairement courts pour donner du rythme et une tonicité.

Comme dans chacun de mes romans, le récit est enchaîné, lié et se veut haletant.

 

Les personnages :

Marie (narratrice 1) : Marie a vingt ans, une sœur piquante de douze ans, Zélie, et un frère relax de vingt-quatre ans, Charlie. Tandis que leurs parents s’effacent quinze jours, elle se retrouve caissière de la "Maison de la Presse". Sérieuse mais peu sûre d’elle, sa prise de poste commence mal. Marie commet une erreur de caisse en se laissant distraire par un client qui s'est montré un peu trop charmant. Elle s’en veut. Avec ses frère et sœur, ils sont en immersion dans le commerce parental et, dans la peau de jeunes gérants, se posent mille questions sur l'avenir de ce commerce et doivent se plier à une rigueur. Un vol de caisse va perturber leur intérim estival. Qui est à la manœuvre ?

 

Brieuc (narrateur 2) : Fils de banquier, Brieuc s’installe avec Lulu dans la bourgade bretonne qui abrite la "Maison de la Presse ". Il a un stage de banque à honorer, mais ce stage n’est pas sa principale préoccupation. C’est Lulu, personnage mystère de ce roman, qui occupe ses pensées. Il l'entoure de marques d'affections, s'inquiète de son comportement. Il se lie aussi d'amitié avec Patrick, l'ancien commis de la librairie, mais a-t-il bien fait ?

 

Zélie : Petite sœur de Marie, Zélie a douze ans et porte les caractéristiques que notre société prête à la génération Z : la fronderie, le zapping, et une forme de mésentente avec les personnes âgées dont elle se méfie.  Son point de vue évoluera-t-il ou ses craintes seront-elles fondées ?

 

Charlie : Grand frère de Marie, il porte la casquette de patron durant les deux semaines d’absence des parents. Il est d’un tempérament calme et coulant, mais s’emporte lorsqu’un sujet ou une personne le chatouille. Fervent défenseur du commerce de proximité, il prend son rôle très à cœur, et s’implique. Il veut apporter un souffle nouveau à la "Maison de la Presse".

 

Lulu : Personnage mystère du roman, Lulu partage le quotidien de Brieuc. Tout est à découvrir : âge, sexe, préoccupations. Une obsession tenaille ce personnage ambigu : le mur blanc de l’habitation. De chapitre en chapitre, sa mélancolie, son obsession vont crescendo. Son comportement de plus en plus inquiétant met Brieuc à rude épreuve. Mais pourquoi ?

 

Patrick : D’antan fidèle employé de la Maison de la Presse, Patrick est retraité et vit seul. Il veille sur les trois jeunes apprentis libraires, les paterne et partage certains repas, au cours desquels les esprits s’illuminent. Il veille un peu trop sur eux au goût de Zélie, qui le trouve vieux et louche… surtout depuis ce vol de caisse….

 

Les clients : Dans un commerce fourmillant, ils sont nombreux et hauts en couleurs …. Autant de suspects potentiels du vol de caisse, une trousse Daniel Hechter.

 

(Dans ce roman, on retrouve aussi furtivement l’attachant Alexandre Le Perec et Lou nés du roman « Lou Jeans »)

   

D'où vient l'idée du livre ?

« Te revoir sourire » est né de deux envies :

 

 

La première était de pouvoir diffuser un parfum de jeunesse en faisant vivre des personnages au cœur d’un commerce de proximité bouillonnant de livres, magazines, papeterie, carterie, et bien sûr de clients. Pour cela, j’ai donné la parole à la jeune génération, une fratrie de trois enfants avec chacun leurs traits de caractère, amenés à reprendre les rênes du commerce parental en plein boom estival. À travers leur œil, ce sont les interrogations d’une jeune génération sur le devenir du commerce de proximité, la découverte de la rigueur, des efforts et des astuces à déployer pour permettre au commerce de garder sa notoriété et la place qu’il mérite.

Cette première envie met donc à l’honneur le commerce de proximité et un courage sous-estimé ou mal estimé pour le faire vivre.

 

La seconde envie était, à l’instar de ce que j’avais fait dans le roman « Lou Jeans », d’introduire, du début à la fin du roman, un personnage mystère au prénom épicène, Lulu, dont les obsessions et la mélancolie sont énigmatiques.

Lulu ne supporte pas le mur blanc de son habitation ; mais quelle histoire se cache derrière cette névrose ?

Lulu incarne un second sujet, un sujet de notre société qui sera révélé en fin de roman ! Aurez-vous trouvé avant ?

Rendez-vous au chapitre de dénouement !

 

Avec les indices égrenés sur Lulu, le lecteur dessine son puzzle. Il essaye de comprendre son identité et les raisons qui amènent le personnage qui partage sa vie, le jeune Brieuc, à tout mettre en œuvre pour revoir ce personnage sourire. D’où le titre...

Rassurez-vous, le lecteur peut aussi lire sans chercher à se poser de question et se laisser guider par l’histoire jusqu’à la fin !

 

Tout au long de ce livre, les générations se croisent, s’observent, se jaugent.

Il est question d’intergénérationnalité et d’apprentissages, et c’est tout lien et le fil conducteur de ce roman.

Il est aussi question de littérature et les clins d’œil à plusieurs auteurs, d’aujourd’hui et d’hier (toujours cette mixité générationnelle) sont nombreux et empreints de bonne humeur.

 

Les situations sont parfois légères et cocasses, le langage est jeune, piquant, vivant, mais derrière cette légèreté se cachent des maturités qui se révèlent au fil du roman.

 

Comme dans mes autres romans, il est question d’optimisme et de courages. Il est question de jeunes et de moins jeunes. Il est question de regards qui se croisent et de jeux de miroir.

 

    Quelques extraits !

Incipit

(chapitre 1 – Marie) :

Paul et Virginie.

Paul et Virginie.

 

Rien à voir avec le roman de Bernardin de Saint-Pierre, et le naufrage de Virginie en mer !

 

Paul et Virginie, c’est le prénom de nos parents.

 

Un couple soudé de libraires, à pied d’œuvre dans son magasin. Sept jours sur sept, depuis vingt années. Contre vents et marées.

 

À l’aube d’une coupure très méritée de deux semaines, le départ des amoureux du livre ne s’annonçait pas facile. Leur attitude en témoignait. Virginie était prise de tics de grattage. Ses phalanges, qu’elle avait fines, n’avaient de cesse de s’immiscer dans son cuir chevelu blond. D’un index puis de l’autre, Paul ajustait ses lunettes cerclées de titane.

 

À leur décharge, le parcours professionnel des remplaçants était peu rassurant : trois challengers dénués d’expérience probante, propulsés dans le monde du travail en plein boom estival.

 

Quelques secondes avant leur départ, Paul s’était encore inquiété : « Sûr, ça va aller ? » Nous avions répondu que sûr, ça irait.

 

Trois voix au diapason. Charlie. Zélie. Et moi : Marie.

 

Nos parents se tenaient dos à la porte vitrée de . Sur le parquet, un bagage bleu. Et devant eux, une progéniture qui, cahin-caha, tentait de les rassurer.

 

C’était il y a deux jours. Je ne suis pas certaine que cette ultime réponse les ait tranquillisés. Mais Paul et Virginie étaient prêts. Il n’était plus question de renoncer.

Leur sac de voyage bouclé, nos géniteurs se sont effacés samedi matin.

Eux partis dans le sud-est, le navire était entre nos mains…

[...]

[[..

(chapitre 4 – Brieuc) :

Mon Brieuc

 

Lulu. Un mois à deux. Que demander de mieux.

" Mon Brieuc, regarde ce logement. Il est vraiment spartiate. Nous aurions été tellement mieux dans l’autre. Il est à peine meublé. As-tu remarqué ce pan de mur blanc, nu comme un ver ? C’est d’une tristesse " as-tu regretté, mine éplorée, à peine la valise posée.

Alors soit, je le conçois aussi, cet habitat crépi de jaune et coiffé d’un toit gris n’est pas grand. Il est rudimentaire, manque d’âme, de caractère et de rangements. Mais souviens-toi, Lulu, l’autre n’est plus disponible. Alors, nous n’avons pas le choix.

 

Le tour du propriétaire en est vite fait.

 

Une table ronde et foncée, un canapé violet, un poste de télé et son meuble daté. Un lit défait, refait. Une armoirette. Une petite cuisine aménagée. Une bouteille de pour se désaltérer. Un coin douche pour se débarbouiller.

Le tout flanqué de quatre murs, clairs et non décorés.

 

Le premier pan, au fond à droite, se réchauffe d’une tête de lit capitonnée, de l’arête d’une table de chevet, du violet du canapé.

Le deuxième, face à la porte d’entrée en PVC blanc, est découpé d’une porte-fenêtre, blanche elle aussi.

Celui de gauche accueille les rangements de la kitchenette, attenante au coin douche.

Enfin, la quatrième surface plane prolonge la porte d’entrée. Elle s’étire sur plusieurs mètres. Elle est totalement nue, et la couleur de cette toile vierge est celle de la fleur de lys…

 

L’endroit est exigu, mais je pressens que nous passerons de bons moments, confinés dans ces quelques mètres carrés.

 

En extérieur, une haie d’éléagnus finement taillée permet l’ombre et l’intimité. Un bout d’herbe s’égaye d’un petit massif, bleu et fleuri. Deux pieds prospères d’hortensias, dix agapanthes épanouies. Et la mer est à proximité. Ne sont-ce pas de bons arguments ? Je compte t’en faire profiter.

 

Même si ton enthousiasme est resté modéré, j’ai senti que derrière cet air peu expansif, il y avait de l’apaisement à nous savoir ensemble.

 

Tu verras, nous nous sentirons bien tous les deux, Lulu. Nos nuits seront belles et étoilées. « Sans doute as-tu raison, mon Brieuc. Nous serons bien... Et nous n’aurons plus ta mère sur le dos…  »

[...]

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